La série obeit
comme dans de trés nombreuses toîles a des lois de marquages.
Ce sont des
numéros appartenant a des listes afin de donner l’idée d’un recensement; des
signes souvent religieux comme ceux des religions du Livre, et l’élément noir
qui se superpose aux données précèdentes et les met en question.
Justement
cet élément est dans cette série visible par le spectateur dans un miroir à
l’arrière du personnage qui nous regarde et ressent cette présence. C’est un
jeu de répércution dont le spectateur est le principal acteur; le doute et
l’angoisse sont pour le modèle humain cadré comme pour une photo d’idéntité, il
est aliéné à cette chose, génétiquement modifié par cet élément tatoué ou réel.
Il nous prend a témoin de son crane rasé et marqué d’une
longue maladie. Cependant dans la perversité des signes le miroir est déchiffré
par nous spectateurs comme une auréole, signe conventionnel de sainteté.
Cette évocation de perfection contient en germe la
tache, la question, le doute et le regard du sujet nous en fait le procès.
Auréole 1/3. Acrylique sur toîle de 30 x 30 cms. 19-10-10
Auréole 2/3. Acrylique sur toîle de 30 x 30 cms. 19-10-10
Auréole 3/3. Acrylique sur toìle de 30 x 30 cms. 22-10-2010
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